Nathalie Delporte

Alors qu'au départ, la psychopathologie n'était pas un cours qui m'attirait, car je ne me sens pas à l'aise avec tout ce qui touche les maladies mentales, j'ai appris beaucoup de choses durant le cours et certaines idées fausses que j'avais ont été corrigées. 

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De plus, la manière dont le cours a été donné était très enrichissante et grâce aux exemples qui illustraient les parties théoriques, cela nous a permis de mieux les assimiler. Je pense qu'en tant que future orthopédagogue, il est important de comprendre les caractéristiques de chacune des ces pathologies pour pouvoir, par la suite, les aider efficacement. Néanmoins, personnellement, je ne vois pas encore comment pouvoir les aider et je ne me sens pas apte à le faire.

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Au début du cours, le professeur nous a parlé de la normalité et qu'il y avait 4 types de normalité (utopique, médicale, fonctionnelle et statistique). Durant le cours d'éthique et déontologie (UE1), nous avons également parlé de la normalité. Nous avions reçu des textes dans lesquels, des personnes se demandaient si elles étaient normales ou pas à cause de certaines pensées qu'elles avaient, de leur façon d'agir,... Notre conclusion était que la normalité dépend de normes statistiques (=comportements moyens dans une société) et donc elle renvoie à des normes sociales (=règles qui nous obligent à nous conformer à des régularités sociales constatées dans un groupe ou une société). Les personnes qui ne "rentrent" pas dans ces normes et qui ont des comportements qu'ils ne peuvent pas s'empêcher d'adopter, ont des comportements pathologiques (=> sont "anormaux"). Mais, ces personnes peuvent être suivies et elles peuvent utiliser la notion DAS (dépression, angoisse-stress) pour mettre des mots sur leur souffrance et prendre conscience de cela.