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Psychologie et méthodologie des apprentissages : généralités et différenciation

Mon carnet de bord

Analyse réflexive

Mon travail

Documents du cours

Mes apports personnels

 

Les différentes méthodes de lecture

Comment apprendre?

Le début de cette vidéo nous montre un professeur de sciences donner cours à une classe. Ces méthodes sont assez spéciales, mais elles permettent de bien comprendre la matière et motivent davantage les élèves. J'ai choisi de mettre cette vidéo ici, parce qu'on n'a pas toujours une idée positive de l'enseignement spécialisé. Ce dernier cherche à faire vivre autrement les activités aux élèves et respecte ces besoins, tout comme le professeur dans cette vidéo. Donc, même dans l'"ordinaire", les enseignants peuvent modifier leur façon d'enseigner pour aider leurs élèves. 

 

 

 

 

Lors du premier cours, nous avons donné notre propre définition de ce qu'était d'apprendre(voici la mienne : "S'approprier de nouvelles choses que ce soit par le corps vécu, manipulé et représenté"), puis nous les avons toutes mises en commun pour arriver à cette définition : 

"Apprendre c'est comprendre et s'ouvrir au monde qui nous entoure. En observant, en se posant des questions, les gens s'intéressent à ce qui les entoure, mais pour qu'ils puissent s'y intéresser, il faut leur donner du sens à cet apprentissage. De plus, il peut y avoir un apprentissage, lorsqu'il y a une nouveauté face à eux, c'est-à-dire lorsqu'ils sont face à un obstacle ou lorsqu'ils transfèrent leurs acquis dans une situation comparable. Quand quelqu'un est tout à fait capable de réaliser ce qu'on lui demande, alors à ce moment-là, l'apprentissage a été acquis. Au contraire, comme expliqué plus haut, s'il y a un questionnement, il y a une réflexion et des hypothèses se posent, un apprentissage se crée. D'ailleurs, lorsque la réflexion se fait à plusieurs (=Conflit socio-cognitif, il y a un partage et la discussion amène des informations en plus."

Je vous ai parlé dans la définition mise en commun en classe, que pour apprendre, on se questionne, on émet des hypothèses et on essaye de répondre à nos questionnements. Mais, aujourd'hui, on ne peut pas toujours se satisfaire de cela pour pouvoir aller à la découverte des choses. Cette motivation intrinsèque est quasi inexistante, car les gens attendent leur récompense (= motivation extrinsèque) et ne se contentent plus d'avoir dépasser leurs limites pour se sentir récompensé. Néanmoins, je pense que pour que les gens aient une certaine motivation, il faut qu'ils se sentent eux-mêmes capable d'y arriver. Si justement, on leur montre qu'on croit en leurs capacités ça les motivera et donc il ne sera plus nécessaire de donner des bonbons. Comme on peut voir dans cette vidéo, le professeur félicite chaque élève, un par un, pour leur donner confiance : https://www.youtube.com/watch?v=5ZXNqraH2Og, Consulté le 11/11/2016. 

Les années précédentes, lors de mes études en préscolaire, on nous expliquait qu'il est très important de commencer à expliquer des activités avec une motivation tels que : raconter une petite histoire, utiliser une mascotte, poser une question,...). Ce type de motivation rend l'activité attrayante, ludique et les enfants sont déterminés à la réaliser. En secondaire, par contre, lorsqu'on distribue aux élèves une feuille qu'ils doivent compléter, franchement, qui est réellement motivé à faire ce qui est demandé? Peu de gens, parce qu'ils n'ont aucun but à atteindre (à part les points).

 

Je pense qu'un orthopédagogue doit utiliser la motivation pour donner envie aux enfants de progresser. Et une fois qu'ils ont réalisé l'activité, qu'elle soit réussie ou pas, ils se sentiront content de l'avoir fait pour eux et non pour la récompense. 

Qu'est-ce qu'apprendre?

Dans ce document, l'auteur explique ce qu'est apprendre. Il rappelle la complexité de l’apprentissage, mais que ce n'est pas pour cela qu'il faut avoir des attentes irréalistes. Il faut justement "laisser du temps au temps, être sensible aux ambivalences, renoncer au forcing, au chantage, aux incitations qui font régresser au niveau du conditionnement. Il faut cesser de mettre les difficultés d’apprentissage sur le compte de la bêtise, de la mauvaise volonté ou de la paresse, de croire que la violence psychologique, la peur du ridicule ou la répétition jusqu’à la nausée aident quiconque à apprendre.PERRENOUD P. (2004), Qu'est-ce qu'apprendre?, En ligne : http://www.unige.ch/fapse/SSE/teachers/perrenoud/php_main/php_2004/2004_08.pdf

Durant ce cours, nous avons tout d'abord parlé de ce qu'était qu'apprendre. Comme expliqué plus haut, cela s'est fait d'abord individuellement puis par petits groupe. J'ai beaucoup apprécié cette méthode de travail parce qu'elle représentait vraiment ce qu'était qu'"apprendre". Comme chacun est différent, on réfléchit autrement lors des questionnements et des réflexions qui se font et c'est grâce à cela qu'il y a un apprentissage. Ainsi, en réfléchissant d'abord individuellement, nous nous faisons notre propre idée sur la question, puis en groupe, les questionnements se créent. Durant le cours de dyscalculie, le professeur nous mettai en petits groupes, puis chaque groupe expliquait aux autres ce qu'ils ont appris/réalisé. J'ai pu constater que non seulement, c'était très ludique mais qu'à la fin du cours j'avais compris la notion visée en mathématiques (alors que, généralement, moi et les mathématiques ça fait deux). 

Le fait de proposer divers ateliers, c'est très motivant et très enrichissant dans une classe ou pour les personnes qu'on aide. Comme vu au cours des intelligences en questions, chaque personne agit en fonction de l'intelligence qui est dominante chez lui (kinesthésique, musicale, visuo-spatiale,...) et donc en proposant plusieurs activités où la méthode de travaille varie, on touche un plus large public dans notre classe.

Ensuite, pour parler du lien entre la mémoire et les apprentissages, le professeur nous a demandé d'apporter des jeux. Nous y avons joués en petits groupes et à nouveau, nous avons discuté ensemble pour déterminer quelle est la mémoire, la voie d'entrée/de sortie qui sont concernées. Par la suite, chacun des groupes est venu présenter ces derniers points au reste de la classe. Cela a permis de vérifier si tout le monde avait bien compris les notions et d'échanger d'une autre façon que d'habitude. 

J'aime beaucoup l'idée d'apporter des jeux pour faire un lien entre la mémoire et les apprentissages, je trouve cela vraiment motivant.

Par contre, ce que j'ai moins bien apprécié c'est le fait qu'il y ait plusieurs répétitions avec d'autres cours, mais également avec ma formation de base.

Voici mon travail : "Critique d'une méthode de lecture : la méthode synthétique". Ci-dessous, j'ai rajouté le travail que nous avons dû réaliser pour le cours de Madame FRERE. Le travail pour le cours de psychologie et méthodologie des apprentissages est en lien avec ce travail.

 "Critique d'une méthode de lecture : la méthode synthétique".                                        "La méthode de lecture : Synthétique"

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