Nathalie Delporte

Durant ce cours, nous avons parlé de la méthode TOJ (TEMP'O Jeunes). Elle consiste à nous apprendre à communiquer avec son bien-être intérieur, avec son entourage et à réussir notre projet de vie. Cette méthode est liée à la mnémotechnique de la main. En effet, elle va du pouce pour arriver à l'auriculaire. Chaque doigt de la main a un rôle : 

• le pouce : "je m'arrête, je me requinque" (=se relaxer) ;

• l'index : "je fais le vide" (=identifier ses besoins) ;

• le majeur : "je reconnais mes qualités" (compliments/succès de ma journée) ;

• l'annulaire : "je fais alliance avec moi-même" ;

• l'auriculaire : "j'écoute mes attentes" (mon projet de vie).

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Cette méthode m'a fait penser à la gestion mentale. En effet, après avoir donné des consignes aux enfants on peut leur demander de fermer les yeux et de visualiser ou d'entendre (en fonction de leurs intelligences multiples) ce qui a été dit pour réaliser l'activité. Par la suite, on leur demande comment est-ce qu'ils ont fait pour se remémorer les consignes. La gestion mentale peut également être pratiquée après un apprentissage, car elle est utilisée dans le but de prendre conscience de sa manière de travailler et de mémoriser.

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Au cours suivant, nous avons vu ce qu'étaient les neurones miroirs. Nous possédons 3 cerveaux : le cortical (=la raison), le reptilien (= émotionnel) et le mimétique (=miroir). Ce dernier cerveau réalise une projection mentale du comportement de l'autre en percevant ses gestes, son point de vue et son état mental. C'est grâce à cela que l'on peut se mettre à la place des autres, mais que l'on peut également apprendre de nouveaux comportements étant enfant. Néanmoins, les enfants qui ont ces neurones miroirs affectés ou inadaptés n'arrivent souvent pas à réaliser tous ces comportements d'imitation (-> Autisme). C'est pourquoi, les orthopédagogues doivent leur apprendre ces comportements pour qu'ils puissent les intégrer d'une autre façon. En effet, lorsque les gens qui sont atteints d'autisme ne reconnaissent pas les émotions des autres. En leur montrant des images avec les émotions, ils vont les intégrer petit à petit et pourront avoir des comportements adéquats.

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En classe, afin de vérifier si un enfant est attentif, il faut percevoir son acuité visuel en se mettant face à lui. S'il est attentif, on lui explique ce qu'on va faire comme activité et on lui demande ce qui s'est passé dans sa tête une fois qu'il a capté la consigne, le message,... (= phénomène de rétroaction). Au plus on en fait au plus l'enfant va apprendre à structurer ce qu'il a dans son cerveau, de vérifier ce qu'il a retenu et de comprendre comment il est arrivé à la tâche finale (//gestion mentale). Ensuite, il réalise l'activité et en même temps il exprime ce qu'il fait.

Au contraire, si notre classe n'est pas attentive, il faut changer de sens soit utiliser le visuel, l'auditif, le kinéstésique, le gustatif ou soit l'odorat (= la programmation neurolinguistique). De plus, il faut également que la règle des trois 8 soit respectée, c'est-à-dire qu'il faut 8h de sommeil, de travail et de loisirs. Cependant, cette règle n'est pas souvent respectée et c'est ce qui fait qu'on soit peu attentif en classe.

 

En maternelle, il est essentiel de leur faire respecter cette règle pour qu'ils puissent être attentifs en classe, c'est pour cette raison qu'un moment de sieste est donné aux enfants. Les activités sont également variées et essayent de toucher toutes les intelligences multiples de la classe afin qu'il y ait un meilleur apprentissage. Par exemple, lorsqu'on donne les consignes avant de réaliser un bricolage, on leur décrit quel est l'objectif à atteindre, puis on leur donne des explications (ou alors ils expliquent ce qu'ils pensent devoir faire après avoir observé l'activité, mais cela dépend de leur âge), on fait participer quelques enfants,...